Les correctrices

Nos correctrices


Valérie Fontaine Gaudet

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Valérie a plusieurs passions dans lesquelles se fond littéralement sa passion principale: les mots, toujours les mots. À la pêche, elle rédige un journal qui décrit les fabuleuses journées dans le bois, en choisissant minutieusement, mais surtout instinctivement, chacun des mots. C’est le choix qui fait le charme, la différence. En cuisine, elle s’efforce de connaître tous les termes, les bons. Afin de leur rendre hommage. Elle se demande également quelle est l’origine de certains mots et qui les a choisi, principalement le mot moutarde. À Noël, elle a eu un bébé chien trop parfait qu’elle a nommé Gaston. Pour Gaston Lagaffe, ou pour Gaston Miron.

Au primaire, elle corrigeait les fautes de ses petits amis, elle lisait aussi déjà beaucoup. Au secondaire, elle écrivait des poèmes d’amour et de révolte! Au cégep, ses cours préférés, c’était évidemment les cours de littérature qui duraient 4heures! Et à l’université elle a décidé de faire vivre cette passion, d’arrêter de niaiser et de le faire, malgré l’incertitude de l’avenir, elle lit donc des livres en Études littéraires 🙂 Et depuis peu, elle corrige aussi les fautes des autres pour le merveilleux blogue Le Fil rouge.


Roxanne Kègle Demers

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 Depuis toujours passionnée des arts visuels, de la musique, du cinéma, de la littérature ainsi que de l’impact socio-culturel des ceux-ci, Roxanne est d’abord et avant tout amoureuse de la langue française. Curieuse d’apprendre différentes langues étrangères, sa langue maternelle sera toujours la musique qui fera chavirer son coeur. Issue d’une génération où l’importance d’un bon français écrit semble en déclin, Roxanne est plus que reconnaissante à l’endroit de sa maman qui lui a bien fait apprendre ses leçon à la petite école et, surtout, lui a transmis sa passion pour la lecture et les mots. Roxanne est également une inconditionnelle crazy cat lady.

 

 


Sarah-Audrey Crépin

SArah-AudreySarah-Audrey est une gourmande de la vie. Elle a constamment le désir de plus, d’en apprendre plus, d’en voir plus, d’en goûter plus. Avec les tourments de la vingtaine, elle souhaite découvrir le monde, comme plusieurs. Curieuse et rêveuse, elle s’intéresse à l’art sous toutes ses formes. Elle veut toucher à tout sans trop savoir où cela la mènera. Elle est certaine d’une chose : les mots lui font du bien. Bachelière en études littéraires, elle prétend que le français est la plus belle langue de toutes. Elle décide donc pour l’instant de transmettre cette passion à travers la révision éditoriale et la correction des articles chez Le fil rouge.

 

 

 


 

 

Geneviève Gauron Laberge

Élevée dans une famille où les histoires orales, les livres et les mots occupent une place primordiale, c’est sans surprise que Geneviève ait développé un amour inconditionnel de la langue française. Le livre le plus utilisé à la maison familiale était évidemment le dictionnaire, ses parents étant des cruciverbistes invétérés. Elle est l’amie un peu fatigante qui grince des dents avec les fautes d’orthographe et les accords de verbe incorrects,  et qui ne se gênera surtout pas pour vous le faire remarquer (par ailleurs, elle s’en excuse!).

Fée marraine officielle de sa filleule, elle espère maintenant transmettre sa passion à la nouvelle génération. Elle est également la maman adoptive d’un perroquet abandonné et d’une chatte de ruelle. Tous les êtres ont droit à une deuxième (ou même troisième) chance!


Kim Lan Dô-Chastenay

Kim Lan est bien entendu une dévoreuse de livre. Sa passion remonte à l’enfance; elle se souvient avec acuité des premiers romans plus volumineux dont elle avait entrepris la lecture, vers l’âge de huit ans, avec sa mère : Les orphelins Beaudelaire de Lemony Snicket ainsi que Harry Potter de l’incomparable J. K. Rowling. À cette passion bien ancrée s’est ajoutée celle pour la langue française, qui s’est transformée en fascination pour les langues en général, particulièrement pour l’allemand et l’italien. Si elle baragouine encore l’italien, mais a arrêté de l’étudier, elle compte poursuivre indéfiniment son étude de la langue allemande qui recèle de petits bijoux linguistiques aussi surprenants que logiques. Des études allemandes, elle a migré vers l’étude de la traduction, qui l’a replongée dans les méandres de la langue française, pour le meilleur et pour le pire. Elle aime ce que cette profession apporte en termes de structure et de travail concret. Elle laisse surtout toute la place à la lecture pour le plaisir, que le plaisir.

 


Émilie Sirois

Il y a une constante dans la vie d’Émilie : son amour de la langue française! Ce petit dictionnaire ambulant de 5 pieds devient une véritable référence partout où elle passe. Elle explique les règles, elle rature les erreurs, elle réécrit les structures bancales. Et tout ça, avec le sourire! Bien sûr, elle s’intéresse à beaucoup de sujets : la littérature, la photo, les communications, le web, la littérature, la culture, l’humour, le théâtre, les jeux de société, la littérature… Vous l’aurez compris, elle dévore les livres, du documentaire sur le bonheur au dernier roman de Marc Lévy, en passant par le recueil de poésie de Natasha Kanapé Fontaine. C’est cette diversité littéraire qui lui permet d’affûter son œil pour repérer la moindre erreur. Ça, et les cours de grammaire de l’université qui ont fait chavirer son cœur. Rédactrice-réviseure de profession (à temps partiel), elle a choisi de s’investir dans un blogue qui partage sa vision littéraire, à savoir que les livres peuvent faire du bien.

 


Mylène Fréchette

Passionnée par les mots et la lecture depuis qu’elle est toute petite, Mylène a suivi son penchant naturel en s’inscrivant en littérature dès sa sortie du secondaire. Charmée par cet univers infini auquel les livres donnent accès, elle a poursuivi son cheminement jusqu’à l’université et pense ne jamais en sortir. Présentement étudiante à la maîtrise en Études françaises à l’Université de Sherbrooke, elle collectionne les projets en lien avec les livres et essaie de rédiger un mémoire sur le festival littéraire des Correspondances d’Eastman. Codirectrice de la revue étudiante de création littéraire, elle essaie tant bien que mal de faire diminuer la hauteur de sa pile à lire, qui ne fait que croître (mystère).

Elle essaie quand même de se divertir en dehors de la lecture, en écoutant des films, en dansant, en essayant de nouvelles recettes et en jouant avec son nouveau bébé chien, Poncho. Un jour, elle espère travailler pour une maison d’édition ou ouvrir sa propre librairie. En attendant, c’est avec bonheur qu’elle se joint à l’équipe des correctrices du Fil rouge!

 


Valérie Synotte

Si elle en avait le choix, Valérie habiterait dans une bibliothèque pour être constamment entourée de livres. Ce n’est malheureusement pas le cas, mais elle a la chance d’exercer un métier qui la rattache à l’univers des lettres. Que ce soit lorsqu’elle enseigne le français au collégial ou lorsqu’elle anime des ateliers de francisation, elle a un plaisir fou à trouver des lectures stimulantes pour ses étudiants et elle aime se servir de la littérature pour leur faire découvrir le monde qui les entoure. Bien qu’elle lise de tout, elle a un penchant pour la littérature québécoise et ses voix fortes, inspirantes, nécessaires. Si elle a choisi de faire de la révision pour Le fil rouge, c’est d’abord pour son amour des mots, mais aussi pour connaître de nouveaux auteurs et ajouter des titres à sa pile à lire.

 


Amélie Boudreau

Amélie rêvait de faire un métier créatif et de mettre son imagination à profit, ce qui s’est traduit sur le tard, par un emploi dans le monde culturel en communication. À travers tout son parcours, un but s’est imposé : contribuer au rayonnement des artistes, peu importe leurs disciplines. Cela s’est traduit par des critiques de musique sur Sors-tu.ca, un travail dans une école de danse professionnelle, la création d’un blogue littéraire et bien sûr, la révision pour Le fil rouge.


Christine Comeau

 

SALADE LITTÉRAIRE À LA CHRISTINE :

1- Dans un cerveau en ébullition, mélangez une grande quantité de mots fraîchement cueillis à même les livres.

2- À l’aide de votre imagination, incorporez deux ou trois pousses d’idées bien fraîches.

3- Arrosez d’un léger filet d’anecdotes savoureuses.

3- Brassez vigoureusement jusqu’à l’obtention d’un mélange coloré.

4- Saupoudrez le tout de quelques brins d’humour.

5- Assaisonnez au goût du jour et savourez entre amis!

Servir chaud, accompagné de préférence des quatre groupes alimentaires suivants : philo et substituts, contes et fantastique, prose satirique et littérature québécoise.

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