Les Lettres à mademoiselle Brochu
C’est bien connu (par mon entourage, on s’entend), Maxime-Olivier Moutier, c’est « le mien ». Il est mon auteur favori au Québec. Ce n’est quand même pas peu dire, j’ai exploré en masse avant d’avancer cela, lisant en grande majorité du québécois. Son style littéraire accessible et recherché, ses sujets abordés de l’amour et la quête de soi et de l’autre, sa façon de faire réfléchir ses personnages, j’avoue que tout ça a permis un réel love at first read. D’ailleurs, sur mon petit blogue bien personnel, la seule « critique littéraire » qu’on y trouve est celle du roman de Moutier La gestion des produits — Tome 1 : La crise (un autre roman que vous devez lire, soit dit en passant!). Bref, j’ai décidé de me replonger dans l’univers de mon auteur favori avec son quatrième roman paru en 1999, Les Lettres à mademoiselle Brochu : éléments pour une nouvelle esthétique de la crise amoureuse. Il prenait la poussière, juché en haut de ma bibliothèque depuis quelque temps, alors que j’ai lu ce …