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Mes 5 questions posées à Stéphanie Boulay, porte-parole pour les Correspondances d’Eastman, mais pas seulement!

Les Correspondances d’Eastman, le plus grand festival littéraire en Amérique du Nord, sont revenues pour une 16e édition du 9 au 12 août dernier. Cet événement a pour but d’offrir au public un accès bien privilégié aux coulisses de la littérature, et c’est Stéphanie Boulay qui a eu l’honneur cette année d’en être la porte-parole. J’en ai alors profité pour lui poser quelques questions! Depuis ton premier roman À l’abri des hommes et des choses qui est paru en 2016, tu ne cesses d’avoir des projets artistiques! Ton livre jeunesse Anatole qui ne séchait jamais sortira le 4 octobre 2018 et un EP solo verra le jour à l’automne prochain, un projet parallèle au duo folk (Les sœurs Boulay) que tu formes avec ta sœur, Mélanie Boulay, depuis 2012. Tu es à la fois chanteuse, musicienne et autrice (et même chroniqueuse!). Occupée comme tu es, pourquoi as-tu accepté d’être porte-parole pour la 16e édition des Correspondances d’Eastman? J’aimerais aussi connaître ta réaction quand on te l’a proposé. Au départ, j’ai pensé que j’étais indigne de prendre ce rôle …

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Les coulisses de la littérature aux Correspondances d’Eastman

J’ai eu l’immense bonheur de couvrir les Correspondances d’Eastman pour leur 16ème édition, portant le thème « Les coulisses de la littérature ». J’avais en tête le doux souvenir d’un après-midi d’été passé là-bas en 2011 avec ma mère. Nous nous promenions dans le parc près du théâtre de la Marjolaine et avions écrit des lettres à de purs inconnus selon notre inspiration du moment. Un concept (quelque peu) farfelu Cette année, je me voyais déjà profiter d’une manière bien différente des correspondances en m’y impliquant davantage : la programmation était tentante et la thématique intrigante se laisserait manipuler, ai-je pensé, par chacune et chacun des écrivain.es invité.es. La porte-parole de cette édition, Stéphanie Boulay musicienne et écrivaine, était un autre élément qui stimulait chez moi la hâte de m’y rendre! Le concept est agréable, bien pensé et un peu farfelu : le village devient un paysage aménagé pour recevoir les lecteurs et lectrices ainsi que les écrivains et écrivaines qui sommeillent en chacun de nous. Des boîtes aux lettres sont dispersées dans les rues et près des parcs, dans …