Rencontre avec Rachel Monnier, illustratrice
Curieuse d’en connaître un peu plus sur l’univers créatif de Rachel Monnier, je lui ai posé une série de questions, à laquelle elle a répondu. Découvrez la richesse du monde qui habite l’artiste qui nous a offert les illustrations des romans Le plongeur de Stéphane Larue, Taqawan d’Éric Plamondon et, plus récemment, La bête creuse de Christophe Bernard, tous parus chez Le Quartanier. Quels sont les sujets ou les thèmes qui vous interpellent le plus? Les thèmes qui font réfléchir, ou rire. Ceux qui touchent l’inconscient, que ce soit de l’enfant ou de l’adulte. J’aime beaucoup donner un caractère plurivoque à mes illustrations. Jouer avec des symboliques sous-jacentes et des détails qui ne sont pas perceptibles par tous, dans l’immédiat. Comment le paysage influence-t-il votre travail? Le paysage que je perçois de mes yeux influence beaucoup mon travail. Mais c’est l’âme du paysage qui l’influence davantage. Que ce soit dans une pièce sombre dans un environnement urbain, au cœur d’une forêt, ou encore dans le métro, entourée de gens qui s’affairent à s’affairer… Chaque situation, ambiance ou …