Le pouvoir de l’amour
Au primaire, j’avais un dédain (et le mot n’est pas léger) pour les BD. Je ne sais pas d’où ça me vient, mais dans ma tête il n’existait que Calvin et Hobb, TinTin, Lucky Luke et les Archie, rien pour me faire aimer cet univers. J’ai passé mon secondaire et mon cégep sans vraiment m’intéresser au genre, dans un mélange d’indifférence et de méconnaissance. Vient l’université, dans un cours, lors de la session que j’ai passée à l’UdeM, notre prof nous fait lire deux romans graphiques que j’avais bien aimés. Sans pour autant être devenue une fan du genre, j’ai commencé à regarder un peu plus ce qui se fait dans le milieu, au Québec. C’est comme ça que j’ai découvert Le pouvoir de l’amour et autres vaines romances de Yves Pelletier et Iris. Cette BD est sur mon tableau pinterest «Je veux tout, tout de suite et ici» (Shoutout à Ariane Moffat) depuis au moins un an et ce n’est que tout récemment que j’ai enfin mis la main dessus, grâce aux éditions La pastèque. Si vous cherchez …

