J’étais très excitée de lire le dire du journaliste de LaPresse sur l’entreprise qu’est Walmart. Comme plusieurs, ou au contraire de certaines personnes, je n’aime pas Walmart. Malgré les économies que nous pouvons faire, je n’aime pas leur philosophie, leurs valeurs.
Je ne vous le cacherai pas je ne connaissais pas le travail de Monsieur Meunier, mais suite à ma lecture je suis intéressée à suivre son travail et ses anciennes enquêtes. Le reportage sur les personnes itinérantes m’intéresse beaucoup.
Tout comme le journaliste, je comprends son «sentiment» d’appartenance pour une compagnie. Aimer le travail répétitif aide à oublier nos problèmes de la vie quotidienne. Cela a quelque chose de très facile, sauf lorsqu’il est question d’avoir affaire aux clients. Avec Hugo, nous faisons la rencontre de divers personnages plutôt colorés ! J’étais très emphatique à sa situation.
Pourquoi j’ai apprécié ma lecture, c’est parce que le journaliste ne m’a pas seulement appris comment ça se déroule dans son Walmart de St-Léonard (et même au Mexique lors d’un voyage). Il m’a beaucoup appris sur l’entreprise, mais surtout sur le fondateur. Ça m’a presque donné une image «humaine» de Walmart.
Par contre, que de tristesse à voir que la compagnie décourage ses associé-e-s à ne pas aller à la CSST en cas de blessure. Et l’histoire de cette mère monoparentale qui doit se lever si tôt, prendre le bus de nuit pour arriver à l’heure au travail et si elle croit arriver en retard, elle doit payer un taxi qui lui coûte la moitié de son salaire de la journée. Est-ce que Walmart serait capable de s’adapter aux besoins de ses associé-e-s? Cette lecture a fait en sorte de confirmer ce que je pensais déjà de cette entreprise.
– Que pensez-vous des propos de l’auteur sur l’entreprise Walmart?
– Aimeriez-vous faire ce genre d’enquête (infiltration)?
– Que pensez-vous de ce type d’approche journalistique ?
– Que pensez-vous de Walmart?