Être en désaccord avec la fiction
Il y a quelques semaines, je terminais avec délice le dernier épisode des six saisons de Sex and the City, genre huit ans dans les maritimes. Ouin, il était temps, certaines me diront. Constat : je l’ai adorée. Préalablement, je m’étais pourtant demandée si je ne me lançais pas dans une de ces séries « de filles » dont le niveau de quétainerie atteignait des sommets astronomiques et qui, de surcroit, me taperait sur les nerfs. Et bien non. J’y ai trouvé peu de défauts ou de choses à redire, je l’ai trouvée amusante et convaincante et je me suis beaucoup attachée aux personnages. Une finale réussie À l’issue du dernier épisode, j’étais satisfaite. J’ai trouvé la finale tout à fait réussie. Genre « all was well » à la manière des derniers mots du septième livre de Harry Potter. Je trouvais que tout se terminait pour le mieux et dans la plus grande des logiques. Mr. Big était enfin capable de dire à Carrie qu’il l’aimait et décidait de se lancer avec elle dans une …


