C’est le temps des potages, des chocolats chauds et des bas de laine! Honnêtement, plus je vieillis, plus j’apprécie l’automne et le fait de me blottir au chaud, spécialement pour lire. C’est donc avec joie que le mois d’octobre se présente à nous, une raison de plus pour découvrir un roman québécois. Suite au sondage sur la page Facebook du groupe, Un livre québécois par mois, nous lirons Ma vie ne tient qu’à un fil mais c’est un très bon fil de Sylvie Laliberté. Le vote a toutefois été ultra serré, la deuxième option étant L’année la plus longue de Daniel Grenier.
Bonne lecture, on se retrouve vers la fin du mois pour la critique commune de ce roman.
Petit descriptif du roman
Avec sensibilité et humour, Sylvie Laliberté remonte le fil de sa vie, depuis son enfance rêvée dans les livres jusqu’à aujourd’hui, alors qu’elle côtoie la vieillesse de son père. Se jouant des conventions, elle nous livre par petites touches un récit à propos de l’identité, du bonheur, de l’amour, et de toutes ces grandes et petites choses du quotidien.
Pour en savoir plus sur l’auteure :
Sylvie Laliberté est une artiste montréalaise qui fabrique des vidéos, des gravures, des photographies et des installations. Elle écrit aussi des chansons qu’elle chante à la maison et sur la scène. Elle a produit deux albums : Dites-le avec des mots et Ça s’appelle la vie. En 1999, elle reçoit le Prix Louis-Comtois, pour les artistes à mi-carrière, décerné par la Ville de Montréal et l’Association des Galeries d’Art de Montréal. Plusieurs de ses vidéos lui ont valu des prix, dont deux en Allemagne. Je ne tiens qu’à un fil mais c’est un très bon fil est son troisième livre.
Source : Site des éditions Somme toute
ISBN-13: 978-2-924606-00-1
Prix: 19,95$, 152 pages