All posts tagged: traduction française

Elena Ferrante, poupée volée, l'am

Poupée volée ; entre obsession et maternité

Je me fais un point d’honneur de lire tout ce qui est traduit en français de l’auteure italienne Elena Ferrante, auteure de la série à énorme succès L’amie prodigieuse, série soit dit en passant EXCELLENTE que je vous recommande sans plus tarder, j’en ai d’ailleurs parlé ici et ici. L’an dernier, j’ai aussi lu Les jours de mon abandon de cette auteure. Comme ce dernier, Poupée volée est un roman individuel, qui ne concerne pas la saga, même si en le lisant, je ne pouvais m’empêcher de penser aux personnages de la série. J’ai d’ailleurs trouvé beaucoup de points communs entre le personnage principal et Leda; elles ont un peu un destin semblable. Alors si vous aviez besoin d’un livre pour l’attente du dernier roman, je vous recommande Poupée volée. Obsession  Poupée volée est un roman psychologique qui raconte l’histoire de Leda, une universitaire de 48 ans qui décide d’aller passer l’été près de la mer, proche de Naples, histoire de préparer ses cours tout en profitant du beau temps et en s’offrant des instants de calme. Mère de deux …

Recettes d'amour et de meurtre, Sally Andrew, Flammarion, Tannie Maria, Klein Karoo, Afrique du Sud, afrikaans, traduction française, Recipes for love and murder, roman culinaire, les livres qui font du bien, littérature étrangère, littérature, recette, lecture, livres, le fil rouge, le fil rouge lit, bibliothérapie, quétaine, enquête policière, courrier du coeur, amour, meurtre,

Cuisine, romance et meurtre : tout pour séduire même les plus sceptiques (recette en prime à la fin de l’article!)

Lors d’un brunch entre fileuses, Martine nous a offert un buffet de services de presse. Si vous l’ignorez, un service de presse est un livre qui est envoyé au Fil rouge (donc à Martine directement) dans le but qu’une collaboratrice le lise et en parle sur le blogue. Mais, vous vous en doutez, les deux cofondatrices à elles seules ne peuvent pas lire tous les livres du monde, malheureusement. Et quand la pile à lire de services de presse devient trop immense, on se fait un brunch collectif et on sépare les livres entre nous (c’est vraiment l’fun être une fileuse). Donc, au dernier brunch de distribution de livres, comme toujours chacune s’est garochée sur le livre qu’elle veut lire depuis sa parution mais qu’elle ne s’est pas encore procuré, ou encore sur le style de livre qui lui plaît le plus. Après quelques minutes, il reste les rejetés, ceux qu’on juge à leur couverture ou à leur public cible duquel on se détache complètement. On fait clairement du jugement à la première impression. Toutes …