En juillet, on lit un livre de la maison d’édition La courte échelle.
La courte échelle a fêté ses 40 ans l’année dernière. Elle fut fondée en 1978 par l’écrivain Bertrand Gauthier, qui est également le fondateur des éditions Le Tamanoir. Son objectif était de populariser la littérature jeunesse aux gens. Et je crois que c’est réussi. La courte échelle a le talent de suivre le courant. Elle se met au goût du jour, c’est pourquoi on retrouve des couvertures encore plus colorées et des illustrations encore plus dynamiques que lorsque j’étais une jeune élève.
Pourquoi avoir choisi la maison d’édition de La courte échelle? Eh bien, je crois que, comme plusieurs fileuses, nous avons été bercées par les courts romans de La courte échelle. Je suis contente de constater qu’elle a encore sa place dans les bibliothèques de nos jeunes.
On pourrait en conclure qu’elle est l’une des maisons d’édition pionnières en ce qui concerne la littérature jeunesse au Québec.
Voici quelques suggestions de lecture :
- Un album jeunesse, écrit et illustré par Élise Gravel, tout simplement parce que c’est Élise Gravel!
- Valentine picotée, de Dominique Demers, parce qu’il reste mon préféré.
- La série Sophie, de Louise Leblanc.
- La série De petite À GRANDE, qui est traduite en français, mais qui vaut le détour.
- Sombre secret, de Carole Tremblay, car maintenant ils font des romans d’horreur!
- Le pelleteur de nuages, de Simon Boulerice.
Quelle bonne idée! Ça fait des années que je cherche à mettre la main sur l’un des premier album jeunesse que j’ai lu en primaire qui parlait d’un professeur qui était en fait un martien! Je lisais beaucoup de roman de cet éditeur. J’en ai même conservé un que je lisais tous les ans (c’était une petite tradition). C’est « Les Cahiers d’Élisabeth » de Sylvie Desrosiers. J’avais lu pas mal de livre de la saga Rosalie de Ginette Anfousse. Wow! Tu me ramènes en enfance ce matin 😛 Bonne journée!
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