Sous la cloche
Au cours du lancement des coffrets littéraires du Fil rouge, il y a avait un panel sur la littérature avec des auteures québécoises; lors de cette soirée, j’ai appris l’existence d’une auteure américaine, Sylvia Plath. Unanimement, cette auteure, plus précisément son roman The bell jar, La cloche de détresse en français, était un incontournable, en plus d’être un livre bouleversant, mais éblouissant. C’est l’histoire d’Esther Greenwood, elle a dix-neuf ans et passe un séjour à New York, car elle a gagné un concours de poésie organisé parc un magazine populaire. Elle se retrouve donc dans cette grande ville toujours en action avec douze autres filles et participe à des soirées, des événements de mode, etc. Sous une toile de fond des années cinquante, Esther perd intérêt pour les activités préalablement organisées, pour s’inventer ses propres aventures à travers la ville agitée, des bonnes comme des moins bonnes. À son retour de New York, elle retrouve la petite ville de banlieue monotone où elle a grandi, il faut dire qu’Esther a toujours eu une vie mouvementée, …










