Le phénomène Marie « Kon Marie » Kondo, et pourquoi ranger inspirerait la joie ?
Pour commencer, je vais vous faire un aveu, je suis une fille bordélique. Voilà, c’est dit. J’ai même songé à partir un club pour les bordéliques anonymes comme moi: les «BA», haha ! Sans blague, je dois avouer que je trouvais que j’étais une cause perdue jusqu’à tout récemment. Dans mon ancien appartement, un minuscule 3 1/2, le rangement s’imposait de lui-même vu l’espace habitable, mais dans mon nouvel appart, un immense 3 1/2, je trouve déjà que c’est un travail colossal de maintenir tout en place, et juste d’y penser, je fais de l’anxiété ! J’exagère à peine. J’ai la terrible «maladie» de tout garder au cas où, et j’ai celle aussi de me dire «voyons on ne peut pas jeter ça». Je vous le jure, je suis, limite, une cause perdue. J’ai eu le deuxième livre de Marie Kondo, Ranger inspire la joie en service de presse et j’attendais le bon moment pour le lire depuis disons quelques mois. Pour une bordélique anonyme, vous vous doutez que le bon moment de lire un livre qui vous obligera à ranger, et ce, apparemment dans la joie, …